Pierre Pestieau
Je reviens d’un
voyage dans la Turquie de l’intérieur. Je ne connaissais jusqu’à présent
qu’Istanbul et pour la première fois je pénétrais dans l’Anatolie profonde pour
visiter la Cappadoce et la côte égéenne gréco-romaine. J’ai ainsi visité les églises
troglodytes de Cappadoce et à Ephèse, Konya et Pergame des sites archéologiques
redécouverts plus ou moins récemment. Entre autres, ce qu’il reste du Temple
d’Artémis, une des sept merveilles du monde. Et quasiment à l’entrée de chacun
d’eux on trouvait le ou les noms des donateurs public ou privés, le plus
souvent étrangers, qui clairement pallient l’impécuniosité de l’Etat Turc.